3 avril 2012
fugue
« Paul n’avait eu aucun remords (à propos de sa fugue). Pas le moindre regret d’avoir fait vivre à mes parents quatre jours d’une angoisse insoutenable. Il n’envisageait les choses que depuis l’épicentre de ses désirs, sans se soucier de ce que l’onde de son égoïsme pouvait provoquer » (David Thomas/ un silence de clairière)
Publicité
Publicité
Commentaires