Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
les citations sérieuses du docteur Chabry
les citations sérieuses du docteur Chabry
Publicité
Archives
13 mars 2012

femme

 

« De toute façon les femmes ça n’est rien. Les femmes ça n’existe pas. Elles ne sortent pratiquement pas des maisons, on dirait qu’elles portent un veuvage immémoriel même lorsque leurs maris sont en vie, elles sont vêtues de noir………elles attendent que les jours s’écoulent et ils s’écoulent, que les étés reviennent et ils reviennent. Elles savent depuis le premier jour qu’elles ne quitteront jamais la ville, elles sont bienheureuses d’avoir trouvé un homme, un qui a bien voulu les épouser, elles plaignent celles qui restent seules à Falmouth, elles savent que la solitude de ces femmes là doit être sans fond puisque la leur est déjà presque impensable. » (Philippe Besson)

« Les femmes sont souvent étrangères à la méchante vérité que les hommes dissimulent, elles n’aiment en eux que ce qu’elles ont choisi et ne veulent rien savoir d’autre » (René- Jean Clot/ l’enfant halluciné)

 « Dialosse de femme (en patois femme du Diable) » (René- Jean Clot/ l’enfant halluciné)

 « ma femme me faisait l’effet d’un post-it. Notre communication se résumait à ce qu’il y avait à faire pour tenir le cap de notre vie familiale » (David Thomas/ un silence de clairière)

 « à 40 ans la femme a tissé des magies au rouet de son charme pour habiller mes nuits » (Art Mengo)

« Les femmes qui s’intéressent aux comiques sont en général des femmes un peu âgées, aux approches de la quarantaine. Certaines avaient un gros cul, d’autres des seins en gant de toilette, parfois les deux…je ne pouvais que leur confirmer la décroissance de leur valeur érotique…..ce n’était pas la maturité qui les attendait, mais simplement la vieillesse. » (Houellebecq/ la possibilité d’une île

 « Une femme artiste ou écrivain m'a toujours paru une anomalie plus grande qu'une femme qui serait agent de change ou banquier. Dans ce dernier cas, elle n'engagerait que ses capitaux ; dans l'autre, c'est son âme qu'elle met en circulation à ses risques et périls. » (Louise Ackermann /Pensées d'une solitaire,)

 «  Cette Molly, tout de même quelle femme ! Quelle généreuse ! Quelle carnation ! Quelle plénitude de jeunesse ! Un festin de désirs. » (L.F Céline/ Voyage au bout de la nuit)

 « Moi tu sais, je m’en passe des femmes qu’il disait avec leur beaux derrières, leurs grosses cuisses, leurs bouches en cœur et leur ventres dans lesquels, il y a toujours quelque chose qui pousse, tantôt des mômes, tantôt des maladies. C’est pas avec leurs sourires qu’on le paie son terme ! N’est-ce pas ? Même moi dans mon gourbi, si j’en avais une de femme, j’aurais beau montrer ses fesses au propriétaire le quinze du mois çà lui ferait pas me faire une diminution ! » (L.F Céline/ Voyage au bout de la nuit)

 «  Une femme aimée ne peut jamais vieillir »

 « Elles ont une âme et des sens aussi, ces filles, et des joues fermes et des lèvres fraîches ; et leur baiser violent est fort et savoureux comme un fruit sauvage. » (Maupassant)

 «  Il y a des femmes d’une stupidité et d’une brutalité insupportables, c’est pour compléter les hommes peu doués pour la procréation. » (Hemingway/ Pour qui sonne le glas)

" Elle était de ces femmes qui font graviter autour d'elles les problèmes du monde, et qui les exhibent aux hommes qui s'interessent à elles comme un chapeau à plumes ou comme les stigmates du martyre, peut être pour les dissuader en suggérant qu'eux même, les hommes, et leur intérêt masculin sont peu de chose en comparaison de l'importance des difficultés qu'elles affrontent."(Antonio Munoz Molina/ rien d'extraordinaire)

 " les femmes trop proches posaient des problèmes, à plus forte raison les voisines de pallier. Non pas qu'elles fussent trop accessibles, ce qui serait plutôt bien, c'était surtout que lui, Ferrer, devenait beaucoup trop accesssible à elles, éventuellement contre son gré. Certes on n'a rien sans rien, certes il faut savoir ce qu'on veut."(Jean Echenoz/ Je m'en vais)

 "Les femmes n'aiment pas les hommes qui glissent sur la pente de leur existence sans chercher à se retenir." (Sophie Loubière/ L'enfant aux cailloux)

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité