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les citations sérieuses du docteur Chabry
les citations sérieuses du docteur Chabry
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Archives
13 mars 2012

mémoire

« la véritable mémoire des premières années de notre vie ne nous appartient jamais en propre, mais appartient plutôt à ceux qui nous ont connu, élevé et vus grandir » (Antonio Munoz Molina/ Pleine lune) « Je n’oublie rien, je suis privé de cette capacité...
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13 mars 2012

sérieux

« elle avait le sérieux de ces fillettes qui ont été habituées très petites à aider à la maison et à s’occuper de leurs frères plus jeunes, le sérieux de toujours des classes laborieuses » (Antonio Munoz Molina/ Pleine lune) « c’était ce sérieux qu’apprenaient...
13 mars 2012

don

« ….grâce à ce don qu’elle avait de ne pas percevoir les offenses de laideur quotidienne des choses » (Antonio Munoz Molina/ Pleine lune)
8 mars 2012

saison

« le changement de saison surprit la ville comme la sortie d’un tunnel au bout duquel apparaîtrait un paysage inconnu » (Antonio Munoz Molina/ pleine lune)
8 mars 2012

déprime

« je me regardais errer, chancelant, dans les sombres labyrinthes du doute, de l’affliction et du plus total désespoir » « je reviens avec mon chagrin, ce désespoir qui ne faiblit pas, cet accablement imbattable, une désolation qui ne se dit pas. C’est...
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8 mars 2012

voeux

« si les vœux étaient des poissons, nous lancerions tous des poissons » (F.Herbert)
8 mars 2012

raison

« un homme peut perdre la raison à la pensée qu’il a été très heureux et qu’il ne le sera plus jamais » (R.Jean Clot/l’enfant halluciné)
8 mars 2012

gens

« les gens ne sont rien d’autre que leurs animaux domestiques » (R.Jean Clot/l’enfant halluciné) « les gens ne sont que des virgules dans la dictée que nous impose l’existence » (René- Jean Clot/ l’enfant halluciné)
8 mars 2012

solitude

« L’horloge de la gare est moins seule que l’homme qui regarde l’heure » (R.Jean Clot/l’enfant halluciné) « Il avait peur de la solitude. Ce n’était pas tant le manque de femme qui l’effrayait, que la perspective de se retrouver seul avec ses pensées....
8 mars 2012

roses

« on commence par respirer des roses, ensuite on se pique aux épines » (R.Jean Clot/l’enfant halluciné) « Des milliers de roses se fanaient dans les corbeilles des marchands, au long des trottoirs, et leur odeur sucrée flottait dans toute la ville. »...
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